Comment arrêter de douter ? Douter de soi, douter de son avenir professionnel… Face à l’incertitude, il est difficile de faire un choix ! Perdu dans un océan de questionnements et de possibilités, toutes plus floues les unes que les autres, on a tendance à se morfondre et faire du sur-place. Ça, c’était avant ! Et si les doutes avaient quelque chose à vous apprendre ? Et si vous arriviez à vous servir de vos incertitudes pour construire votre vie idéale ? Dans cet épisode, je partage avec vous mon cheminement pour mieux vivre les doutes et les dépasser.
Bonjour bonjour, et bienvenue sur Oser Vivre, le podcast qui t’aide à affirmer tes rêves, tes envies, tes besoins et à construire une vie qui te ressemble. Je suis Bérénice Bieuville, freelance en quête de sens.
Dans cette première saison du podcast, je me suis mise au défi de documenter mon exploration professionnelle, ma quête de sens, et plus précisément ma réorientation, de rédactrice web à un métier sur mesure et 100 % aligné avec moi-même.
Dans ce 8e épisode, j’aimerais te parler des doutes. Plus précisément, comment mieux vivre une période d’incertitudes et s’en servir pour avancer dans la bonne direction.
Mon parcours professionnel, semé de doutes
Comme tu le sais, je réfléchis actuellement à quelle activité professionnelle je pourrais construire pour être alignée avec moi-même et contribuer au monde du mieux possible.
Ça veut dire que je dois faire un choix. Je dois envisager plusieurs directions, plusieurs offres et en sélectionner une. Au moins pour commencer, en tout cas.
Qui dit choix, dit forcément : doutes.
Je ne sais pas quoi choisir, j’hésite et j’ai peur de me tromper. Je remets tout en cause, jusqu’au fait même d’être entrepreneure.
J’ai d’ailleurs traversé des moments de mal-être à cause de ce tourbillon de questionnements… Je te renvoie vers l’épisode 7 pour en savoir plus sur comment dépasser une période difficile.
Je suis actuellement en wwoofing pour prendre du recul face à ces doutes… Mais pas seulement. J’espère aussi m’en servir. Balayer les questionnements superflus pour qu’il ne reste que le choix le plus pertinent, à la racine.
Je voudrais donc te parler de mon cheminement actuel, ma relation aux doutes et comment je les transforme en opportunité.
J’en ai parlé avec Marjorie Bessaïh, une coach holistique qui m’accompagne en ce moment. Elle m’a aidé à prendre du recul sur mes doutes. À mieux les vivre, et même à les voir positivement et m’en servir.
Comment arrêter de douter ? Comment agir malgré les incertitudes ? Je vais te parler de tout ça !
C’est quoi des doutes ?
Les doutes dans le dictionnaire
Voyons ce que le dictionnaire a à nous dire sur les doutes…
D’après le Robert :
État de l’esprit qui est incertain de la réalité d’un fait, de la vérité de paroles, de la conduite à adopter dans une circonstance.
D’après le Larousse :
État de quelqu’un qui ne sait que croire, qui hésite à prendre parti.
Voilà deux définitions parmi la dizaine qui existe. Deux définitions qui résonnent avec ma situation actuelle…
Ma définition des incertitudes
Finalement, douter c’est rester bloqué devant un choix, car on ne sait que croire, ni qui croire. On ne sait pas quelle est la vérité, donc on ne parvient pas à prendre une décision. Les doutes sont des incertitudes sur ce qu’on devrait faire.
Les conséquences des doutes
Avoir trop de doutes nous pousse à faire le choix par défaut (en suivant l’ordre établi, les demandes de la société ou notre entourage) voire ne pas choisir du tout.
En ce moment, mes doutes se traduisent par :
- Un sentiment d’illégitimité. Je me dis que je ne suis pas la bonne personne pour aider, que je n’ai pas assez d’expérience ou de connaissance et que personne ne pourrait (ou devrait !) me faire confiance.
- Beaucoup de perfectionnisme. J’ai vraiment envie de faire le choix parfait, de trouver l’offre idéale… Tout de suite. Mais je sais que je ne peux pas : mon choix va demander des itérations. Je vais devoir tester ce qui me plait ou pas.
Mieux vivre ses doutes en voyant leurs avantages
Je me sentais donc très mal par rapport à tous ces doutes. Pourquoi ai-je tant d’incertitudes, de questionnements ? Pourquoi je n’arrive pas à avancer, comme tout le monde ?
Je tiens à te partager quelques réflexions qui m’ont aidées à mieux vivre les doutes.
C’est normal d’avoir des doutes…
C’est complètement normal d’avoir des doutes. Tout le monde a des incertitudes.
De ses choix de vie au choix du diner, on se questionne, on hésite, on se demande si on ne va pas regretter ou passer à cote de quelque chose de mieux. C’est normal de se demander si on ne va pas regretter ou passer à côté de quelque chose de mieux.
C’est normal, mais il faut en prendre conscience et accepter ses incertitudes. Ne pas rester en mode automatique.
Comment accepter les doutes ? En se souvenant que…
… Les doutes sont très positifs !
Imagine ne jamais avoir de doutes, ne jamais questionner tes choix, ta vie.
Imagine pouvoir prendre tes décisions en un claquement de doigts, sans évaluer sérieusement les autres possibilités.
Il y a de grandes chances qu’après 10 ou 20 ans, tu te retrouves dans une vie qui ne te corresponde pas du tout. Il y a de grandes chances que tu passes à côté des expériences savoureuses de la vie. Que tu essayes de rentrer dans un moule par défaut, qui te rende malheureux.
Quand je me suis rendue compte de ça, ça m’a énormément déculpabilisée. Oui ! Car me retrouver enfermée dans une vie par défaut, qui ne me plaise pas… C’est certainement l’une de mes plus grandes peurs.
Les incertitudes comme protection contre le mode automatique
Je me suis alors rendue compte que mes doutes étaient une protection contre la vie en mode automatique. Un bouclier contre un avenir qui ne me corresponde pas.
Faut-il vraiment arrêter de douter ? Je ne crois pas.
Je suis reconnaissante d’avoir des hésitations. Je sais que, grâce à elles, je suis capable de remettre en cause l’ordre établi, de questionner régulièrement ma vie, de faire des choix en pleine conscience…
Les doutes sont donc extrêmement sains.
L’importance de douter régulièrement
Même une décision prise en conscience : il est utile de la remettre en cause régulièrement. Puisqu’on évolue, on change, on grandit. Un choix pris il y a 6 mois, 1 an ou 5 ans n’est peut-être plus d’actualité. Alors, les doutes reviennent. Les incertitudes nous poussent à réévaluer notre vie, à vérifier qu’elle nous satisfait toujours.
Par exemple, j’ai déjà douté sur le fait même d’être entrepreneure. J’ai discuté avec une amie qui est salariée. Alors que j’étais dans mes questionnements et prises de tête, je me suis dit que son emploi avait l’air tellement plus simple. En entreprise, il n’y a pas autant de choix, de possibilités. Il y a un chemin clair à suivre. Je me suis demandé si je ne devrais pas repartir sur ce chemin simple, arrêter avec mes incertitudes liées à l’entrepreneuriat…
Finalement, je sais que je veux rester indépendante, que ça me correspond mieux. Oui, l’entrepreneuriat n’est pas facile. Cette vie demande de faire des choix, de s’affirmer. Mais être salariée serait encore plus difficile pour moi.
Mes doutes m’ont permis de remettre en cause cette vérité et de la valider à nouveau. Maintenant, je suis sûre de mes fondations : l’entrepreneuriat. Je peux donc avancer sereinement.
Arrêter de douter : les étapes pour passer à l’action
Les doutes sont positifs, certes. Mais comment dépasser ses doutes et s’en servir ?
Les 3 phases du changement pour dépasser ses doutes
Je vais me servir à nouveau du triptyque dont je t’ai parlé dans l’épisode 7. Pour changer une situation inconfortable, il faut :
- en prendre conscience ;
- l’accepter ;
- agir.
À lire aussi : Surmonter les moments difficiles.
1. Prendre conscience de ses incertitudes
- Pour prendre conscience de ses incertitudes, rien de tel que des exercices d’écriture. Essaye de te poser une question, de penser à une situation qui te fait hésiter. Puis vide ta tête sur le papier.
- La méditation m’aide aussi beaucoup. Cette pause mentale me permet de faire le tri dans mes pensées, de faire remonter celles qui me tracassent le plus.
- Enfin, des discussions profondes avec son entourage. En ce moment, alors que je suis en wwoofing, j’en ai énormément… Ça m’aide à avancer !
2. Accepter les doutes
L’objectif, en réalité, n’est pas d’arrêter de douter. Mais, au contraire, d’accepter les questionnements existentiels. Cela demande de se souvenir que les doutes sont positifs. Mais pas seulement.
Cela demande du temps aussi. Parfois, même si on sait que les incertitudes ont beaucoup à nous apporter, seul le temps permet d’accepter. Un peu comme un processus de deuil.
Voyons maintenant comment agir malgré les incertitudes.
3. Agir pour arrêter de douter
Agir, c’est faire un choix. Commencer par quelque chose.
Ça n’a pas à être un choix définitif (au contraire !). Mais ça doit au moins être un premier pas. Pas un choix définitif, mais un premier pas.
Quand j’ai plein de doutes, c’est que j’ai une multitude de possibilités qui s’offrent à moi. Agir, c’est simplement tester une des branches, une des options.
Les doutes naissent de l’inaction. Les doutes viennent du manque de réponses.
Je doute quand je ne sais pas quelle est la vérité : je ne sais pas comment se déroule telle ou telle prestation, comment va réagir un client potentiel, si telle ou telle activité va me plaire… Dans ce cas, mon mental m’envoie plein de questions pour lesquelles je n’ai pas de réponses. Alors, je doute.
C’est seulement en testant que les réponses viendront.
N’oublie pas cette phrase : Les doutes naissent de l’inaction.
J’ai donc besoin d’agir pour faire taire les incertitudes, gagner en confiance et trouver les réponses. Bref, agir pour arrêter de douter.
Les 5 étapes pour ne plus douter de soi et de l’avenir
Voilà les 5 étapes que j’applique en ce moment pour passer à l’action et ne plus douter.
1. Se poser les bonnes questions
Ca peut sembler évident, mais quand on a le nez dans le guidon ça ne l’est pas du tout…
Je ne peux pas trouver de réponses tant que je n’ai pas posé la bonne question.
Pas la question de l’ego, du mental, du type « quelle offre proposer ? Pour quel client ? » Ce sont des questions très fermées.
Je cherche plutôt une question ouverte. En ce moment : quelles expériences je dois vivre pour passer à l’étape suivante ?
Je me mets dans une posture où je suis prête à vivre de nouvelles épreuves pour avancer, à tester pour trouver les réponses et grandir. Je suis prête à faire des détours pour répondre à la question que je pensais être a seule intéressante (quelle offre proposer ?).
2. Écouter et noter les doutes
Ne passe contenter de balayer les incertitudes, les ignorer. Au contraire : je décide de les vivre pleinement. Je laisse toutes les questions remonter à la surface.
L’objectif est de noter tout ce qui nous passe par la tête, écrire les arguments qui créent de l’incertitude. Lister également les différentes options entre lesquelles on hésite – en se laissant la possibilité d’en ajouter d’autres évidement.
Parmi un flot de croyances du mental, il y aura des messages de l’intuition, du cœur. Des messages sincères, utiles, qui requestionnent notre vie et permettront de trouver les bonnes réponses.
3. Identifier les peurs et besoins
Les doutes viennent de la peur. Je cherche donc à identifier la peur qui se cache derrière chaque incertitude. Je nomme ensuite le besoin d’où nait la peur.
Par exemple, derrière mes hésitations sur le choix d’une activité professionnelle, j’ai identifié que j’avais la peur d’échouer. Derrière, j’ai un besoin de sécurité (financière, matérielle) et un besoin de reconnaissance extérieure.
J’ai aussi peur de passer trop de temps à travailler, et donc de passer à côté de la vie. J’ai identifié un besoin de découvrir, d’apprendre, un besoin de plaisir, mais aussi un besoin de sérénité mentale et bien-être physique (pas trop de stress, bon sommeil, etc.).
Je t’invite à ton tour à identifier tes peurs et besoins derrière chaque doute. Ça te permettra de prendre en compte tes enjeux personnels dans tes choix. D’agir en conscience.
4. Rationaliser ses peurs
Tes peurs sont-elles plausibles ou absurdes ? Les besoins sont-ils réels, ou simplement créés par le mental, l’égo et la société (comme mon besoin de validation !) ?
Demande-toi aussi : au pire, il se passera quoi ? Ça aide vraiment à dédramatiser et à passer à l’action.
J’avais envie de choisir très (trop) vite mon activité professionnelle, parce que j’avais cette peur de la sécurité financière. Mais, au pire, il se passe quoi ? En réalité, j’ai de l’argent de côté, je peux tenir plusieurs mois. Au pire du pire, je peux retourner chez mes parents, dormir chez des amis ou bien aller en wwoofing pour ne pas avoir de frais. Bref : je ne vais pas mourir seule sous un pont. C’est rassurant. Ça aide à tester des branches, même incertaines. Car je sais qu’il n’y a pas mort d’homme !
5. Reprendre la liste de possibilités… Et en tester une
Enfin, tu peux reprendre ta liste d’options (établie à l’étape 1) et choisir une direction à TESTER. Pas une direction pour la vie. Vois ça vraiment commue une expérience, un essai.
Pour sélectionner ta prochaine étape de vie, prends en compte tes passions, tes valeurs et la mission que tu te donnes pour contribuer au monde. (Épisodes 4, 5 et 6 du podcast !)
La boite à outils anti-doutes
Je voulais te partager une autre réflexion qui m’a beaucoup aidée ces dernières semaines.
Lors d’une discussion profonde avec les autres wwoofeurs, on s’est demandé : de quoi on voudrait se rappeler quand on se sent perdus ?
Je voulais donc partager avec toi les 4 éléments que je garde en tête pour mieux vivre les périodes de doutes. Je t’invite évidemment à te créer, à ton tour, ta boite à outils anti-doutes ! Imagine que tu veux aider un ou une ami.e : tu lui dirais quoi ?
1. Faire confiance
Quand je suis perdue, je veux me rappeler que je peux faire confiance… Je peux m’en remettre à mon intuition, à ce qui est plus grand que moi. Je crois sincèrement que la vie mettra sur mon chemin les bonnes personnes, me fera traverser les bonnes expériences. [Je parle en détail de ma spiritualité dans l’épisode 3].
À écouter : Chakras, destin, mission de vie… Ma spiritualité.
Quand j’ai plein d’inconnues, que mon mental essaye de tout prendre en compte, que les questions tournoient dans ma tête et les possibilités s’emmêlent… Je fais mon possible pour tout lâcher, m’en remettre à mon intuition. Faire confiance en la vie. Mettre en pause mon mental et écouter mon cœur.
Faire confiance, c’est arrêter de douter. Je remets les questionnements à une force extérieure à moi.
2. Rien ne remplace le temps
Laisser le temps agir. S’il y a bien quelque chose que j’ai appris ces derniers mois, c’est que certaines évolutions prennent du temps.
C’est parfois difficile à accepter : on veut trouver les réponses tout de suite ! Mais il y a un temps incompressible. Je laisse le temps agir, m’amener les réponses, me faire cheminer.
3. Ma priorité n’est pas la réponse, mais mon bien être et ma connexion spirituelle
Je me rappelle que ma priorité n’est pas la réponse, mais mon bien être et ma connexion spirituelle.
C’est seulement dans le bon état d’esprit que les réponses pourront venir. Et que je pourrai les entendre, surtout.
4. Les doutes se noient dans l’action
Enfin, je me rappelle de tester le plus vite possible. Ne pas rester dans mes théories mentales, mais trouver les réponses dans l’action. Accumuler des expériences. Vérifier mes pensées sur le terrain. Revenir au corps.
Voilà donc ma boite à outils anti-doutes, mon mémo pour traverser une période d’incertitudes. Faire confiance ; laisser le temps agir ; prendre soin de moi et passer à l’action.
Dépasser la peur de faire des détours
Ça peut faire peur d’expérimenter sans être certain de son choix. D’avancer malgré les doutes.
Personnellement, j’ai peur de perdre du temps. J’ai peur des détours.
Mais, en fait, les détours sont indispensables ! Les détours me font grandir. Les tests me permettent d’être sûre de mes choix, de valider ou non mes hypothèses. Les essais m’évitent d’avoir des regrets, des « et si… ». Encore une fois, je fais confiance pour que les détours m’amènent exactement là où j’ai besoin d’être, avec les connaissances et le savoir-être dont j’ai besoin.
Depuis plusieurs mois, je me rappelle comme un mantra que : la vie est faite d’expériences. Je m’engage à incarner cette phrase au quotidien et dans mes décisions les plus impactantes.
Le plan d’action pour arrêter de douter et enfin agir
Je voudrais terminer cet épisode avec un petit plan d’action. Ce sont les différents engagements que je veux incarner pour mieux vivre mes doutes.
Je t’invite à te demander : à la lumière de ce que tu as entendu dans cet épisode, qu’est-ce que tu peux mettre en place maintenant pour arrêter de douter, ou mieux vivre une période de flou ?
Je vais répondre avec mon exemple, peut-être que ca pourra t’inspirer.
Donc pour rappel : je doute par rapport à mon activité professionnelle. Quel problème je veux et peux résoudre ? Pour qui ? Comment ? Bref : Quelle offre proposer ?
Voilà les 3 actions qui vont me permettre d’avancer.
- Me laisser le temps pour prendre du recul. C’est pourquoi je suis partie en wwoofing. Pendant 3 semaines, j’ai grandement ralenti mes réflexions et mon rythme de travail. J’avais vraiment besoin de cette pause pour prendre soin de moi. Maintenant, je me replonge sur mes questionnements avec un œil neuf, de nouvelles expériences et le mental reposé. Je sens que grâce à cette respiration, les réponses viennent plus naturellement. Un tri s’est fait entre toutes les possibilités que j’avais envisagées.
- Méditer chaque jour, autant que possible. Pendant cette pause mentale, je veux m’assurer de rester ouverte aux réponses, aux expériences et faire confiance.
- Choisir une offre qui m’inspire et cheminer pour la concrétiser. Ne pas chercher l’offre idéale, mais celle du moment, qui corresponde à mes compétences et envies actuelles. Toujours dans l’idée d’expérimenter et de passer à l’action !
Comment ne plus douter ? En résumé
Voilà, en résumé, les actions que tu peux mettre en place suite à cet épisode pour arrêter de douter.
- Te poser les bonnes questions par rapport à tes doutes : trouve une question ouverte, large et accepte-la sincèrement. Par exemple : quelles expériences je dois vivre pour avancer ?
- Note tous tes doutes et les possibilités qui te viennent à l’esprit.
- Identifie les peurs et besoins derrière les doutes.
- Note au moins 3 mantras que tu veux garder à l’esprit en période d’incertitudes.
- Défini un plan d’action pour incarner ces mantras et dépasser tes doutes. Veille à nourrir tes besoins dans tes expériences de vie. Pense également à prendre en compte ta phase de changement : es-tu en prise de conscience, acceptation ou passage à l’action ?
Tu sais ce qu’il te reste à faire !
Et pour finir, n’oublie pas : Chaque jour, crée le monde de demain.
À très vite sur Oser Vivre ! Bisous bisous.
Bonjour Bérénice
Je viens de tomber par hasard (le hasard existe t-il?) sur ce postcast et ca fait du bien d’entendre qu’on est pas seul à douter, à chercher du sens à sa vie.
Comme tu le dit si bien, il n’y a pas d’age pour douter et c’est au contraire très saint de douter plutôt qu’être en mode automatique.
Pour ma part j’ai 49 ans, une sécurité financière, ancien ingénieur en informatique je me suis mis à mon compte mais je suis aussi en quête de sens… Je pense que cela est humain… On né, on vit, on meurt. Que faire entre la naissance et la mort.. qu’es-ce qui a du sens.
J’en suis également venu à la conclusion qu’il fait essayer de taire le mental, être plus dans le présent, dans l’intution… faire confiance en la vie et ne pas vivre dans la peur du futur. « Au pire il se passe quoi ? » .
Bref bravo et merci pour ce postcast
Bonjour Bruno,
Merci pour ton commentaire qui me touche beaucoup !
Je suis ravie d’avoir pu te rassurer en partageant mon retour d’expérience.
Bonne quête de sens, et au plaisir de voir où cela te mènera.