Associations écologiques engagées : liste d’organismes de confiance pour agir !

Associations écologiques, couverture de l'article

Face à l’urgence climatique… Découvrez une liste d’associations pour l’écologie vraiment engagées et capables de changer le monde.

L’urgence écologique se fait sentir de plus en plus. Entre la pandémie démarrée en 2020, le nombre record d’incendies et inondations à l’été 2021 et la sortie alarmante du rapport du GIEC cette même année…

On ne peut plus le nier.

Il est temps d’agir. Avec ambition, avec engagement.

Certaines associations œuvrent pour l’environnement depuis des années…

Rejoignons-les. Rassemblons-nous.

Unissons nos forces et nos ressources pour construire un monde souhaitable. Vous n’imaginez pas tout ce qu’on peut accomplir en collectif…

Comment passer à l’action ? Voilà 5 conseils pour déceler une ONG vraiment engagée et une liste des associations pour l’écologie fiables, de confiance… Et capables de vraiment changer la donne.

5 critères pour déceler les associations qui changent vraiment le monde

1. La thématique

Bon, si vraiment vous voulez changer le monde, on ne va pas se mentir… Certaines thématiques seront plus pertinentes que d’autres.

Si chaque geste compte, certains pèseront tout de même plus lourd dans la balance ! Prenez le temps de lire la mission de l’association et la cause défendue. Demandez-vous si cela participe vraiment au changement que vous souhaitez voir dans notre société.

Ne vous méprenez pas : même une petite action, incarnée de fortes valeurs humanistes ou écologiques, participe à la transformation du monde. Tant que les actions sont alignées avec les paroles, tout est possible !

2. Les actions

Une association existe pour mener à bien une mission. Cette dernière est spécifiée dans ses statuts.

Pour évaluer la pertinence d’une association, on peut d’abord se demander si la mission est à la hauteur des enjeux actuels… Mais aussi si les actions sont aptes à remplir cette mission !

  • L’organisation a-t-elle de belles réussites à son actif (surtout pour les anciennes associations) ?
  • Les succès sont-ils proportionnels aux moyens et à l’ancienneté de l’association ?
  • Combien d’actions pertinentes compte-t-on par an ?
  • Les actions ont-elles des effets rebonds négatifs ?

Parcourez le site internet et l’historique des actualités en ligne pour vous faire une idée.

Lorsque c’est possible, n’hésitez pas à échanger avec des membres du bureau ou des bénévoles. Cela vous permettra d’avoir un aperçu des valeurs, du fonctionnement et de la sincérité des personnes guidant l’association.

3. L’utilisation de l’argent

Avant de soutenir une association, a fortiori par un don monétaire, demandez-vous comment sont employées les ressources.

Par exemple, les ONG qui collectent de l’argent dans la rue… Pour moi, c’est non ! Je ne veux pas que mes économies soient utilisées pour payer quelqu’un qui collectera encore plus d’argent… Certes, ça crée de l’emploi, mais ça dit surtout « vive le capitalisme » !

Non, je veux que mon don serve vraiment la cause qui me tient à cœur. Cet argent pourrait servir à organiser des actions de sensibilisation, des stands ou festivals dans la rue, des conférences participatives, etc. Les personnes découvrent ainsi l’association ET la cause. Voyant le groupe en mouvement et son efficacité, elles pourront avoir l’élan de le soutenir.

Comment avoir des infos là-dessus ?

  • Vous pouvez rechercher les emplois ou demandes de bénévoles de cette association, pour voir les postes proposés.
  • Il est également possible de consulter les comptes des associations recevant plus de 153 000 € de subventions publiques ou don.

Malgré tout, on manque encore de transparence sur ce point.

4. Les conflits d’intérêts

Les conflits d’intérêts empêchent l’organisme d’agir pleinement pour sa cause. L’argent ou la survie de certaines industries passeront avant la mission communiquée au grand public.

Pour déceler les pièges, posez-vous les bonnes questions.

  • Qui chapeaute, qui finance, qui décide vraiment ?
  • L’association est-elle liée à des lobbies ?
  • Qui est dans le bureau et au Conseil d’Administration ?
  • Qu’est-ce qui est partagé sur le site ? Certaines informations sont-elles erronées ? Détournent-elles l’attention des vrais enjeux et solutions ?

Dans le film Seaspiracy par exemple, on nous présente une association censée œuvrer pour la protection de la vie marine. Les expert.e.s y recommandent de manger du poisson responsable… Plutôt que pas de poisson du tout ! Il y a baleine sous gravillon, comme on dit… Les lobbies ont frappé !

5. Vos valeurs et sensibilités

Action au quotidien, interventions ambitieuses, sensibilisation, recherche, partage d’informations fiables, désobéissance… Des associations pour l’écologie, il y en a pour tous les goûts !

Selon vos sensibilités, vos choix d’associations préférées seront différents.

Par exemple, certaines personnes aiment soutenir les initiatives naissantes et à taille humaine. D’autres préfèrent se tourner vers des références dont l’ancienneté inspire confiance.

Certain.e.s trouvent la transparence fondamentale, d’autres ne se passeraient pas de l’inclusivité.

Parcourez le site ou discutez avec les bénévoles de l’association qui vous attire. Vous sentirez assez vite si vous êtes sensible à leur message et leurs moyens… Ou pas.

Bonus : les associations écologiques engagées localement

N’hésitez pas à repérer les organismes sur votre territoire. Cherchez les groupes locaux de grandes associations, mais également des initiatives créées près de chez vous, pour répondre aux enjeux… Près de chez vous.

3 moyens de soutenir les organisations environnementales qui nous tiennent à cœur

  1. Être bénévole. Donner de son temps est une implication fréquente dans le monde associatif. Sans l’action des citoyens et citoyennes, ces organisations à but non lucratif n’existeraient pas ! Comment s’engager ? Contactez les associations à taille humaine pour trouver un rôle adapté à vos compétences et vraiment utile pour le groupe. Pour les plus grands organismes, il existe souvent une page de présentation de vos moyens d’action. Communication digitale, installation de matériel pour des événements, animation d’atelier… Vous trouverez certainement une opportunité qui vous anime et vous plait !
  2. Faire un don ou adhérer. Classique, me direz-vous ! Mais peut-être pas pour les raisons que vous imaginez… Oui, certaines associations pour l’écologie ont cruellement besoin d’argent pour agir. C’est le cas de Sea Sheperd par exemple, dont les besoins matériels sont importants. Pour d’autres organismes, les finances sont une opportunité d’agir à plus grande échelle : actions coup de poing, sensibilisation, investissement pour gagner en visibilité, etc. Mais dans les deux cas, au-delà du montant, le simple fait de donner ou adhérer est précieux. Même quelques euros : cela indique un soutien fort, bien plus impliquant qu’une simple signature électronique ou un partage sur les réseaux sociaux. C’est pourquoi le nombre d’adhérents ou de donateurs est régulièrement utilisé pour évaluer l’ampleur d’une initiative.
  3. En parler autour de soi. Vous n’avez ni temps ni argent à offrir ? Pas de panique. Vous pouvez toujours répandre la bonne parole autour de vous. Parlez de vos associations préférées, participez à leurs événements, partagez les initiatives à votre entourage… Si vous recrutez au moins deux personnes pour donner ou agir à votre place, c’est gagné ! En un sens, c’est encore plus efficace que d’offrir par vous-même.

Passons maintenant à une liste d’associations fiables et prometteuses ! Ce sont des structures que je juge pertinentes, dont les actions sont à hauteur des enjeux d’aujourd’hui. Cette liste n’est évidemment pas exhaustive.

Je précise en toute transparence mon engagement auprès de chacune de ces associations. À vous de juger si cela fausse mon jugement… Ou, au contraire, traduit une meilleure connaissance de l’organisme et une confiance accrue.

Les plus connues : 4 associations pour l’écologie à soutenir

On commence avec des mastodontes de l’association, des organismes qu’on ne présente plus, ou presque… Mais qui ont toujours besoin de notre soutien précieux pour continuer leurs belles actions !

1. Sea Sheperd

Saviez-vous que les premiers poumons de la Terre sont… Les océans.

Ces immensités bleues absorbent du CO2 et libèrent de l’oxygène. Fabuleux puits de carbone, ils régulent la température du globe depuis toujours… Jusqu’à aujourd’hui.

Entre l’acidification des eaux, le réchauffement des mers, la pêche intensive et la chasse déraisonnable des requins, les écosystèmes aquatiques s’appauvrissent.

Ce déséquilibre est un désastre : nous risquons d’entrer dans un véritable cercle vicieux de réchauffement climatique.

Sea Sheperd en a fait son combat ! Leurs navires « pirates » (mais toujours dans la légalité) parcourent les mers pour empêcher le braconnage des requins, baleines, dauphins, etc. Bref : ils protègent les grands animaux marins, indispensables à l’équilibre de l’écosystème océanique.

  • Thématique : la protection des écosystèmes marins.
  • Actions et réussites : régulièrement, des opérations de braconnage illégales sont bloquées ou interrompues, sauvant les animaux marins.
  • Utilisation de l’argent : réparer ou se procurer du matériel afin d’envoyer des bénévoles en mer.

🙋‍♀️ Je suis donatrice régulière pour Sea Sheperd France.

2. Edeni

Edeni est une association pour favoriser le passage à l’action des entreprises et particuliers ! Leur crédo : la formation en groupe. Le collectif propose une myriade de contenus et de parcours éducatifs pour nous aider à adopter un quotidien écoresponsable : du métier de sens à la retraite, en passant par la parentalité et le quotidien. Côté entreprise, c’est bootcamp, team building et accompagnement.

Edeni traque les croyances, les mythes écolo, les peurs et les doutes. L’association nous envoie de la bonne humeur, mais surtout des conseils très concrets pour passer à l’action.

Ce qui me tient particulièrement à cœur, c’est la rigueur des informations partagées. Les supports, contenus et formations se basent sur des recherches scientifiques. Un comité scientifique valide les partages les plus techniques. Comme ça, pas de fausses bonnes idées !

3. Colibris

Le mouvement Colibris est un incontournable des personnes engagées !

« Le Mouvement Colibris œuvre à l’émergence d’une société écologique et solidaire, radicalement différente, en favorisant le passage à l’action individuelle et collective.« 

Cette phrase en page d’accueil résume bien la vision de cette association. Le mouvement se décline en plusieurs branches et actions pour impliquer localement citoyens et citoyennes.

  • L’université des Colibris, avec de nombreux MOOCs, supports de formation et conférences offerts.
  • La coopérative Oasis, un réseau de lieux construisant un nouveau modèle de société.
  • La carte d’initiatives locales pour s’engager.
  • La participation à des films et livres.
  • La création d’outils libres.
  • Etc.

🙋‍♀️ Je prévois d’investir dans leur branche « Coopératives Oasis ».

4. Zero Waste France

Zero Waste France est une association défendant la réduction des déchets à la source ! L’enjeu ? Économiser de précieuses matières premières et éviter les rejets dans les écosystèmes naturels. Ambassadrice de la démarche zéro déchet, l’association défend 3 principaux modes d’actions.

  • Produire autrement, en limitant le gaspillage de ressources. Pour nous, consommateur.rice.s, il s’agit de favoriser les entreprises avec une démarche zéro déchet.
  • Consommer moins, en allongeant la durée de vie. Reconditionnement, réparation, achat d’occasion, location, consigne du verre, etc.
  • Valoriser la matière. Finie l’époque où on jette tout dans la même poubelle ! L’idéal est de valoriser chaque matériau à sa juste valeur. En particulier, les déchets organiques doivent être compostés. Les brûler avec le reste de nos déchets est contre productif : on brûle de l’eau et perd de l’engrais.

Zero Waste France mène des projets d’envergure nationale pour sensibiliser les citoyens et citoyennes. Par exemple, le défi Rien de Neuf, qui consiste à partager des solutions pour ne pas acheter neuf pendant un an. L’association produit également des supports de sensibilisation et MOOCs sur les enjeux et solutions du zéro déchet. Par ailleurs, ses membres communiquent directement avec les politiques pour faire évoluer la loi.

Mais sa force ne s’arrête pas là. Car Zero Waste France se décline en plus de 200 groupes locaux ! Associations indépendantes, elles profitent du soutien et de l’image de l’association nationale pour sensibiliser leur territoire. Découvrez votre groupe local… Ou créez-le !

🙋‍♀️ J’ai créé un groupe local puis ai été bénévole et co-présidente plus d’un an, avant de déménager.

En croissance : 3 organismes porteurs d’espoir pour la protection de l’environnement

Vous cherchez une association fiable pour vous engager, mais préférez les initiatives en croissance ? Voilà quelques idées d’organismes plus récents.

La fresque du climat

La Fresque du Climat propose des interventions ludiques et participatives pour sensibiliser aux enjeux climatiques, écologiques et sociaux. En fait, on crée en groupe une carte visuelle reliant causes et conséquences du réchauffement. Les faits se basent sur les rapports du GIEC pour les expliquer de manière ludique. Autant vous dire que l’atelier crée généralement de belles prises de conscience et l’envie d’agir !

Les ateliers sont clairs, efficaces et ouvrent la discussion. On passe un bon moment, tout en sortant outillé pour réduire son bilan carbone. Bref, je recommande !

Chaque personne ayant suivi un atelier peut ensuite se former à l’animation d’une fresque. Ainsi, la bonne parole se répend…

Le concept s’est peu à peu décliné sur d’autres enjeux écologiques et sociaux : Fresque du Numérique, Fresque des Déchets, Fresque de la Biodiversité, etc.

🙋‍♀️ Je suis formée à l’animation de Fresques du Climat.

La Bascule

La Bascule est un collectif pour basculer vers un modèle de société résilient et respectueux du vivant. Cet archipel se décline en plusieurs lieux, les îles, où se conjuguent transformation personnelle et du territoire. Citoyens et citoyennes y vivent pour explorer un autre quotidien. Leur impact rayonne en facilitant l’engagement de tous et toutes, et en créant de l’entraide entre porteur.se.s de projet. L’association fait aussi du lobbying citoyen pour déplacer les lignes… Et faire basculer le système.

L‘association Fert’Îles a découlé de ce mouvement. Il propose des parcours de formation et d’immersion pour découvrir la vie en écolieu, incarner la posture de coopération ou encore apprendre la facilitation. 🙋‍♀️ Autant vous dire que j’ai hâte qu’une place se libère !

Les monnaies locales

Les monnaies locales permettent de réinventer les échanges dans nos sociétés. Non accumulables, elles favorisent les échanges sur un territoire et évitent les spéculations. Ainsi, ces monnaies complémentaires encouragent les circuits courts et le lien social. Plutôt qu’acheter vos légumes au supermarché, vous consommerez la production d’un agriculteur du territoire.

Et si vous aviez une monnaie locale dans votre ville, village ou région ? RDV sur cette carte pour le découvrir ! D’autres indices permettent de repérer ces graines de changement : les boutiques affichent généralement une pastille sur leur devanture « nous acceptons la monnaie locale ! ». Vous pouvez également demander conseil aux associations de votre quartier. Pour vous lancer, il vous suffit de changer une partie de vos euros en monnaie alternative… Et de la faire circuler.

Liste (non exhaustive) d’autres associations écologiques engagées

J’ai déniché plein d’autres organismes écologiques… Mais je n’ai pas encore approfondi suffisamment pour vous proposer un avis. Fiables ou pas ? Vraiment engagées ou poudre aux yeux ? Faute de recherches, je ne me prononce pas encore. Mais n’hésitez pas à faire de cet article un contenu participatif : vous avez un avis sur ces associations ? RDV en commentaire !

Oui, j’ai publié un article pas terminé. Que voulez-vous, on fait comme on peut :).

Bref : voilà une liste non exhaustive d’autres organismes pour la protection de l’environnement… Et de notre avenir.

Organismes de sensibilisation à l’agriculture et l’alimentation durable

  • L214 : organisme de sensibilisation à la cause animale et à la nécessité de réduire sa consommation de produits animaux. Connue principalement pour ses vidéos choc dans les abattoirs, l’association partage également de nombreux conseils pour adopter le végétarisme ou véganisme.
  • Artisans du Monde : association de soutien au commerce équitable. Produits alimentaires et artisanaux sont vendus dans nos riches sociétés, à prix juste pour les producteurs.rices. Les partisan.e.s d’Artisans du Monde accompagnent et soutiennent différentes associations ou villages des pays du Sud. L’objectif ? Que la vente des produits soutiennent le développement local. Cela reste des produits venus de loin et une vision assez « colonisatrice » avec un risque de dépendance aux pays du Nord. La pandémie, par exemple, a réduit les ventes… Laissant des villages du Sud désœuvrés.
  • Nous voulons des coquelicots : association de lutte contre l’utilisation des pesticides.

Associations de recherche et sensibilisation aux enjeux climatiques

  • Shift Project : véritable laboratoire d’idées pour atténuer le changement climatique et gagner en indépendance face aux ressources fossiles. L’association partage de précieuses informations, en veillant à la rigueur de leurs travaux. Attention, le financement est assuré par des entreprises pouvant générer des conflits d’intérêt. Mais leurs rapports sont généralement utilisés comme une source fiable.
  • On est prêt : association destinée à sensibiliser et mobiliser massivement pour les enjeux écologiques et sociaux. Elle se base sur des personnalités, leaders et contenus efficaces pour mener des actions digitales de grande envergure ! Leur première campagne a débouché sur l’Affaire du Siècle et la condamnation de l’Etat pour inaction climatique… Rien que ça !

Associations pour la protection des océans et écosystèmes marins

  • Surfrider : association de protection et sauvegarde des océans et littoraux… Et leurs usagers. L’approche est discutable puisque, je cite, l’association a été « créée en 1990 par un groupe de surfeurs désireux de défendre leur terrain de jeu ». Leurs combats ? Réduire les déchets plastique et pollutions des océans, lutter contre le réchauffement climatique… Mais pas contre la consommation de poisson. Mouais, bizarre. D’ailleurs, leur article de blog intitulé « La protection de l’océan au menu » propose de réduire les déchets en cuisine, mais pas les produits animaux. Alerte arnaque, moi, je zappe !
  • Planète Mer : association « pour retrouver un équilibre durable entre la vie marine et les activités humaines ». Cette ONG expérimente plusieurs projets et modes d’action pour remplir cette mission. Par exemple, elle organise des sorties d’observation du littoral pour reconnecter les populations à ce monde mystérieux et transmettre des données aux scientifiques. Ces derniers peuvent alors évaluer l’évolution de ces écosystèmes par rapport aux changements climatiques et chimiques. Autre programme : impliquer les acteurs et actrices de la pêche dans la création d’un modèle plus durable. « La mer est un espace de liberté et une source de richesse pour tous. Ses ressources doivent donc profiter au plus grand nombre. Nous défendons donc une pêche avec un faible impact sur les ressources et le milieu marin et riche de ses emplois. » Bon, les milieux aquatiques sont une fois de plus vus comme une opportunité à exploiter. Pas étonnant, l’un de leur partenaire étant Delpierre : poissonnier dit « responsable »… Qui propose, entre autres, des crevettes, du cabillaud et du saumon, parmi les espèces les plus surexploitées. Mais, au moins, on parle de la pêche, c’est mieux que rien…
  • The Sea Cleaners.

Organismes axés sur l’évolution politique et juridique

  • Notre Affaire à Tous : œuvre pour « l’instauration de la justice climatique par les outils juridiques ». Co-porteur de l’Affaire du Siècle, une attaque en justice de l’État pour inaction climatique.
  • Réseau Action Climat : fédération d’associations impliquées dans la transition écologique. Leurs missions principales ? Sensibiliser aux changements climatiques et accompagner les politiques dans la transition.
  • La Primaire Populaire. Comment ne pas parler de la Primaire Populaire ? Cette initiative citoyenne est née en 2022, avec pour objectif de faire émerger une candidature capable de gagner aux élections présidentielles… En portant les valeurs de l’écologie et la justice sociale.
    L’enjeu ? Une union de la gauche, des partis écologiques et de l’ensemble des Français et Françaises sensibles à ces causes. Le processus explore différents outils pour retrouver une réelle démocratie. Le développement de l’initiative se base entièrement sur le rassemblement des citoyens et citoyennes, de l’addition des efforts individuels… Pour réaliser des merveilles en collectif.
    Je plaide coupable : j’ai pas mal agi à leurs côtés en prévision des élections présidentielles 2022. Pour moi, c’est un solide espoir de voir se concrétiser le changement du fonctionnement politique… Donc, du monde.
    Le candidat soutenu n’a pas gagné les présudentielles… Mais l’association n’a pas été inutile ! Son processus d’action incarne un changement de société qui m’inspire ! On agit en collectif pour renverser les schémas établis, bousculer les partis bien en place. Depuis, l’association pourrait évoluer pour promouvoir la démocratie ou favoriser l’implication de tous et toutes en politique, par exemple.

Associations écologiques engagées centrées sur l’action des citoyens et citoyennes

  • Alternatiba.
  • Extinction Rebellion.

Les organismes pour l’engagement des jeunes, des étudiants et des jeunes actifs

  • Futures générations.
  • Youth for Climate.
  • Avenir climatique.
  • Pour un réveil écologique.

ONG pour la protection de la biodiversité

  • WWF.
  • La ligue pour la protection des oiseaux.

Liste en vrac d’associations pour l’écologie

  • Time for the Planet.
  • France Nature Environnement.
  • Fondation Nicolas Hulot.
  • Agir pour l’environnement.
  • Noe.
  • Les amis de la Terre.
  • Good Planet.
  • Teragir.
  • We are Climates.
  • Réseau école et nature.
  • Écologie sans frontière.
  • Organisation mondiale pour la protection de l’environnement.
  • 1 % for the Planet.

Une note sur Greenpeace : personnellement, je n’approuve pas les actions de cette célèbre association. Ce groupe ressemble plus à une machine de capitalisme qu’à un véritable organisme pour l’environnement. Leurs réussites récentes ? De simples campagnes d’affichage. Par contre, les ressources affluent pour trouver de nouvelles donations (recrutement de rue, appels, publicités Google renvoyant vers la page de don, etc.). Par ailleurs, pour avoir vu d’assez près un groupe local, l’association n’invite pas du tout à la réflexion et l’indépendance de ses bénévoles. Ces derniers disposent d’actions toutes prêtes et discours prémâchés à réviser et partager. Pourquoi pas, certaines personnes apprécient. Personnellement, je préfère les fonctionnements plus autonomes et issus du collectif local.

J’espère que cette (longue) liste d’associations pour l’écologie vous donnera envie de vous engager ! Ne réfléchissez pas trop : passez à l’action ! L’humanité en a besoin. Parlez-moi en commentaire de votre engagement associatif : où en êtes-vous ?

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